ELBADAWI Soeuf, RICHER Jérôme


© Christophe Péan

Les enfants de Gaucelm
Un banquet du shungu

Les enfants de Gaucelm
Un banquet du shungu

Vingt cinq voix qui font cercle contre le racisme depuis le Collège Gaucelm Faidit à Uzerche. A leurs côtés se dressent des mains amies ou proches, ainsi que quatre poètes errants, pour tisser un même récit, au nom du vivre-ensemble. Le shungu est une manière de faire cercle, issue de la tradition comorienne. Il y est question d’une humanité retrouvée. Il y est aussi question d’un paysage de mots et de mets. Un festin qui en appelle à la dignité des hommes.

« Sur une terre située à dix mille kilomètres de l’Hexagone, des hommes, il y a longtemps, ont inventé une manière de faire récit ensemble. Elle se fonde sur le don et le contre-don. Cette utopie de l’être ensemble, née du désir de tendre la main à l’autre, dans l’espoir de retrouver une forme d’humanité, se nomme ainsi : shungu. Comme le souffle d’une éruption donnant vie à tout un monde... A l’origine de toute histoire, il y a le désir de l’autre. Et la parole fuse ensuite... » Soeuf Elbadawi

Distribution

Avec les 25 élèves de la classe de 3ème A du collège Gaucelm Faidit d’Uzerche, leurs parents et amis.
Soeuf Elbadawi (auteur), Jérôme Richer (auteur), Zaïnaba (chanteuse), Marie-Charlotte Biais (comédienne).

Sur une proposition du Muzdalifa House, de Catherine Mournetas et de Soeuf Elbadawi.